Et quand de ma plume sans discordance
Mes mots vers toi, se dévoilent, en transparence
Quand de mes pensées, plus rien ne renaît
Comme si j’étais morte, avant d’être née
S’employer à la magie du rêve
Stop, trop besoin d’une trêve
Je veux me fondre dans l’oubli,
Parfois un cri, comme le tien, m’éblouit
Passées ces quelques lignes,
Je me contrains à demeurer digne
Pour mieux paraître
Mais aucune raison d’être
J’aurais voulu demeurer éternelle
Au tempo de nos caresses sempiternelles
Je ne peux plus jouer le jeu
De mon cœur, ce simple aveu
Souvent, je me suis réfugiée dans l’absence
Pas d’aveu, juste moi en alternance
Trop peur de mes sentiments
Je ne savais que trop, indiciblement...
T’avouer que de toi je suis amoureuse
Je préfère disparaître, plutôt que d’être malheureuse
Tu te fonds dans l’absence
Et je ne comprend que trop tes moments de silence
Aussi, est-ce moi qui vais simplement te dire
Mais je n’ai rien à dire ou je ne ferais que redire
Combien pour moi tu as compté
Combien je t’ai espéré
Rien que du silence
Alors, je veux exhorter ma souffrance
Je ne demandais rien
Je ne te demandais rien…
Cristal,