sa vie pourtant n’était pas moult merveilles
dans l’ivoire de son château, parfois recluse
pensées sombres doucement diffuses
Quelques mois en avant… un étrange pseudo
du temps lointain, l’ombre grecque crescendo
découverte et naissance des mots soprano
bienveillante entente peinte sur gouache de coquelicots
Des rimes pures et délicates sur toile
pour éclairer des nuits parfois sans étoiles
coup du destin et inquiétude de lui sans nouvelles
la fatalité tombe comme un couperet, chagrin tel
Un bonjour… après bien des jours sans espoir
de lui fragile comme le mal dissimulé dans le noir
et doucement la vie reprend sa course chagrinée
ultime besoin vers lui cheminer en liberté acharnée
Comme l’aiguille lente du temps incrustée
de ces moments éclot une ineffaçable amitié
telle la dernière découverte de l’alchimiste
entre mer et montagne, partage non utopiste
Dire Merci à la vie, pour ces instant magiques
où la fidélité des sentiments rejoint le fantastique
dans son ciel bleu chantent les cigales
dans sa champagne soufflent les bulles de cristal
Naturellement pour lui, elle sera la belle Isabelle
comme une princesse de jade irréelle
Pour elle son chevalier servant, fidèle Lagardère
dans l’instant présent, son trouvère d’amitié bien réel…
Cristal,